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La belle irlandaise (rédaction de seconde)
(travail d'imagination niveau seconde : écrire à la manière de gustave courbet)
ils étaient arrivés un beau jour d ' automne , là ou les feuilles se détachent des arbres pour s ' envoler dans un ciel brumeux , le vent soufflant comme un taureau furieux .
puis , ils étaient descendus de la calèche , quatre soldats de vert vêtus . tout d ' abord , personne ne remarqua sa présence tant elle semblait petite . ce fut un pauvre marchand qui passait par là , qui fut tout de suite éblouit par cette beauté pour le moins étrange.
jenny était certes belle comme une rose tardivement éclose avec sa peau clair tel du nacre argenté , sa bouche rose aux reflets du soleil et sa chevelure .. oh dieu ! jamais une telle crinière ne s ' était présentée dans ce minuscule village .
des mèches d ' un roux immaculés , indisciplinées , volant aux grès du vent comme un bel oiseau prenant son envol . mais se fut ses yeux qui choquèrent le plus : deux petites billes vertes , une marée d ' émotion vide , de tristesse sourde qui brisée tout le charme de ce magnifique tableau de déesse réincarnée .
mais qui ce serait douter d ' une si belle poupée de cire ? si tôt levée , la gente dame , accourait au saloon ou elle disputait alors des parties de cartes féroces . et que ce fut pour une raison quelconque , provoqué un véritable ouragan tant ses colères étaient vives de n ' avoir pu gagner .
une fois son courroux apaisé , le mutisme revenait à la charge . un de ces silences qui vous plongent dans l ' anxiété , qui refait surgir les douleurs du passé . mais de loin été ses secrets .
car en plus de posséder un vif esprit colérique , la belle irlandaise était très mystérieuse . tant était - elle d ' une humeur désastreuse , tant se recroqueviller t - elle dans une mélancolie incompréhensible .
elle pouvait passer des heures à se coiffer devant un miroir craqueler , ses longs et blancs doigts fin accrocher à un peigne édenté .
parfois , ses prunelles sembler s ' éclairées mais s ' éteignaient aussi rapidement , semblables à une lueur de bougie .
puis , un jour de temps pluvieux , la belle irlandaise disparue comme elle était apparue : par un jour de coup de vent .
tel fut sa légende.
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