•                                                                 demond shade

    chapitre un 

    cacher dans l ' ombre

     

    on pense tout savoir sur notre monde . sur nos amis , notre famille , sur nous mêmes . et puis un jour , tout se fissure , un élément , rien qu 'un mot , un geste qui part en fumée , un regard étrange qui change votre vie du jour au lendemain . comme ça , en un claquement de doigts . 

    c ' est ce qui t ' est  arrivée . a toi , jeune fille plutôt banale jusque là , ayant quelques amis , de la famille , à peu près comme les autres . du moins c ' est ce que tu pensais .  puisque je vais  t ' apprendre  quand réalité , les démons existent . ils sont partout . ils nous guettent , nous traquent et dès que nous avons le dos tournés nous arrachent la vie , nous écorchent comme un simple rôti .  et nous en sommes entourés , peut être quand ce moment même il y en a un , juste là , dans ta chambre , derrière toi , il te fixe , ne te retourne pas . ne cris pas . le sens  tu ? sens tu son souffle saccadé dans ton dos ? vois tu son teint cadavérique ? il s ' approche , fais attention . il te guette jour et nuit . il suit chacun de tes pas , attendant le bon moment pour t ' écorchée vive dans ton lit pendant ton plus beau sommeil . vois tu , il se délecte déjà de voir ton visage souriant devenir aussi pâle que le nacre de ton lavabo ou tu passe des heures à te faire belle . ne t ' inquiète pas , il te rendra belle . belle pour toujours . belle comme un cadavre .

    oh chiki , tu viens de faire une irréparable erreur de me suivre dans cette guerre qui n ' est pas la tienne , dans ce monde couper de tout , tu est à présent considéré comme un proie . ma proie . tu est prête à te battre pour une raison inconnue ? oui ? alors laisse moi te rappelez une chose avant de commencer .

    si un jour tu te retrouve dans une allée sombre , poursuivie par quelque chose que tu ne peux pas voir , ne serez - ce quelqu'un que tu pense connaître , souviens toi : cette personne veut te tuer . à ce moment là , ne fuis pas .

    retourne toi . et meurt tant qu 'il en est encore temps . veux tu une raison ? la voici : écoute cette voix aussi grinçante que le cri d 'un ongle racler sur un tableau , elle va te poursuivre jusqu' à la fin , elle va te la chantez jusqu'à te voir agoniser dans ton propre sang :

    les lumières les plus vives , projettent les ombres les plus obscures , 

    dissimulés dans l ' obscurité , la furtivité est notre alliée , 

    discret , tapis dans la pénombre , 

    ensemble nous formons l 'ombre .

    a présent , le jeu peut commencer . prépare toi à mourir . dans 10 ...9....8...7...6...5...4...3...2...1......

                                                                              O !!!!!!!!!

    -eh oh ! eh oh ! regarde moi dans les yeux ! allez s'il te plaît regarde moi ! tu veux jouer avec moi ? s'il te plaît joue avec moi ....chiki 

    <<<<<

    cher journal , je ne suis pas morte , non pas morte . je ne sais seulement pas ou je suis . dans un endroit sombre et humide ? un endroit froid et ensanglanté .

    oh  , j 'ai si peur . depuis maintenant un certain temps , j 'entends des rires , j 'entend des pleurs , et j ' entend cette même chanson lancinante .

    - je vais te trouver ..je vais te tuer ..

    pourquoi moi ? pourquoi m ' as t - elle choisie ? la mort aux ailes noires et a la capuche ardente . pourquoi dois - je souffrir ? 

    pour toi ? 

    je ne veux pas jouer avec elle . je ne veux pas jouer à son jeu . je ne veux pas mourir aujourd'hui . s 'il te plaît ! laisse moi . 

    laisse moi ! je ne veux pas jouer avec toi .

    - eh oh ! eh oh ! arrête de me regarder ! ferme donc les yeux ! dors un peu cela te fera du bien . eh oh ! pleure pas ! pourquoi pleurer ? tu vas seulement ...mourir

    <<<<<

     Il y a des jours, normaux pour la plupart des personnes vivantes sur terre. C'est dur de se dire qu'il y a quelques années, ce jour était pour nous normal également. Pourtant, il faut s'y faire, les sentiments viendront, disparaîtrons, nous ferons savoir qu'on pense toujours et que malgré la perte d'un être important pour nous, il faut continuer à croire à la vie. Qu'ils sont aujourd'hui sous terre, reposant pour le reste de nos jours, dormant comme la belle au bois dormant, ne s'occupant plus de la vie, ne s'occupant plus des problèmes. Un soulagement pour eux, un malheur pour nous autre. Pourtant, on les aimait, on les aime et on continuera à les aimer.

     

    tu  marche tranquillement , à  pas lents près de ce lac. Une habitude depuis maintenant quatre ans. Une habitude qui ne me déplaît pas en fait. Ce jour normal est devenue l'ombre d'une tragédie. moi  , une fille que personne ne connait, une fille qui était presque comme ta  soeur, une blonde   aux yeux noisette , toujours souriante, toujours de bonne humeur, avec ce regard d'envie, de liberté. je suis  partie, comme beaucoup de personnes sur terre. Et, ce lac est notre seul lien, j ' aimait cet endroit Que dis-je, j '  aime encore cet endroit. Cette fraîcheur, ce délicat parfum, cette sensation de liberté, cette envie de marcher tranquillement afin de ne rater aucun moment. Un bruit à te faire sortir de  tes  pensées..

     

     -Tu viens ma belle ou quoi ? 

    -J'arrive ! »

     

    Ce jour est devenu particulier, ce jour normal pour vous, ne l'est plus pour nous. Tragédie de summer, mort de summer . Pourtant, malgré le fait que je  ne soit plus de ce monde, mon corps est encore là. Les souvenirs  sont encore là. Les sentiments  ne changeront pas. je suis  peut-être enterrée dans ce cimetière juste à côté d'un arbre, je suis  toujours là. Reposant en paix maintenant, afin de ne pas m ' oublier vous venez  près de ma tombe afin de me parler, de penser à moi . 

    Arrivez devant le lit  , les larmes ne pouvaient que couler.toi  qui n 'avait  pas l'habitude de pleurer. Ameline aussi, avait les larmes aux yeux. Comment ne pas résister ? ma mort nous a tellement affectée, c'est très dur de vivre sans une personne comme ....moi  . Et puis, par rituel depuis quatre ans vous  deviez chacun votre tour déposer une fleur et faire un petit discours. Moi, je ne peux pas parler. Puis, vous  vous asseyez  devant ma tombe et commencerez  à parler comme à votre habitude. On raconte des événements passés avec la jolie blonde, des moments agréables ,mais aussi des moments délicats. Évidement, le sujet de ma mort revient toujours dans la conversation.

     

    « -Ma soeur n'a pas pu disparaître comme ça... 

    -Et tu penses comment ? 

    -Je ne sais pas, tu en penses quoi ?

    -Je n'en pense rien. Je suis sûre qu'elle nous cachait quelque chose.

    -Toutes les filles de cet âge cache quelque chose... ma soeur aimait les secrets pour tout dire.

    -Vous voulez-vous promener ?

    -Oui. »

     

     Depuis ma mort   de toute façon rien ne va. je suis  devenue une obsession pour beaucoup, comme pour moi. Je ne sais pas comment je suis morte , mais je suis sûre que ce n ' est pas à cause d'une maladie ou d'un suicide. C'est quelque chose de plus grave qu'il s'est passé et je veux tellement savoir. Comme tous ici en fait. Mais ma mort ma vraiment affectée. Nous étions après tout comme des soeurs...

     

    « -chiki  tu vas bien ? 

    -Oui très bien... c'est juste que...

    -Je sais.

    -Bon, j'ai une idée. Et si on faisait une liste de tous les lieux et les films ? On pourrait y aller et les voir ? En gros faire des soirées pour elle ?

    -Bonne idée. 

    -Très bien, elle aimait ce lac il me semble.

    -Elle aimait aussi aller dans cette pièce que notre mère avait décorée. Tu te souviens chi ' ? 

    -Oui, elle l'avait décoré avec soin. C'est elle qui avait tout construit, peint. Je me souviens.

    -En faite, elle aimait bien rester chez nous. On pourrait faire une soirée tranquille et regarder un film ?

    -Tu es intelligent pour un garçon. 

    -Très drôle toi !

    -Bon maintenant on se tait j'aimerais penser à elle  et c'est tout. . » 

     

    vous vous arrêtez  de parler un moment. Le silence reprit le dessus et l'ambiance devenait de plus en plus pesante. Il faisait bientôt nuit et vous décidez donc de rentrer chez vous. Sur le chemin du retour je ne pouvais m'empêcher de penser. Penser à ces moments forts  à nos activités, à nos délires, à nos disputes. Commentas tu put me tuer ? Comment... puis - je te tuer ? 

    « -Nous sommes rentrés !

    -Ok venez, j'ai préparé à manger !

    -Je n'ai pas faim, je monte me coucher.

    -Comme tu voudras princesse. »

     

    tu  montai donc dans ma chambre, rapidement pour tout dire. tu  n'avais qu'une hâte rentrer dans ton monde et oublier tout. te ne savais plus quoi faire. 

    «  On est encore ce jour. Pour la quatrième fois, j'ai peur. Je n'ai pas cette peur d'enfant qui voit un insecte. Non, j'ai vraiment peur de le refaire. Je n'arrête pas d'y penser. Sera-t-il différent des trois derniers ? Sera-t-il aussi sanglant ? Devrais-je encore te faire souffrir ma chiki  Qu'est-ce que j'ai fait pour souffrir autant. C'est évidemment, ce jour, cette nuit que tout va encore basculer. Perdre le contrôle de la réalité pour entrer dans un monde imaginaire. Regarder la vérité en face ne ferait rien, j'ai besoin d'aide. Mais faut-il toujours que ce cauchemar revient ? Ce cauchemar... chiki  j'ai peur pour la quatrième fois de ma vie. Je ne veux pas te tuer. »

     

    tu  n'a pas pu te suicider. alors je vais tout simplement te  tué.

     

    Mes yeux se fermèrent doucement me forçant à me rendre compte que j'étais fatiguée. Mais je ne voulais pas. Je ne veux pas revivre ce cauchemar. J'avais tellement peur de te revoir heureuse et d'un coup, tenir ton corps entre mes bras. Des larmes coulèrent, mes yeux se fermèrent, j'étais impuissante, forme fantomatique , arme à la main , rêvant de voir ton sang coulait le long des draps .

     

    <<<<

    « - Enzo ? C'est toi ? »

     

    Aucune réponse. Pourtant quelqu'un descendait les escaliers. D'un pas lourd et puissant, il y avait quelqu'un. Puis d'un coup, la personne s'était arrêtée. Les marches de l'escalier avaient arrêtés de grincer. tu te  retourne alors d'un coup, ayant cru qu'une petite fille avait rigolé derrière toi. ton coeur battait aussi vite que possible.

    Puis, les bruits de mes pas  avaient repris. Le grincement se faisait de plus en plus fort, je m ' approchait de la pièce. La peur commençait vraiment à t ' envahir. L'espoir que cela soit ton frère ou ton père était mince , ils gisent en ce moment même , corde au cou dans la cuisine . mon  rire se fit de nouveau entendre derrière toi.

     retourne toi , devine qui c ' est pour voir . Ensuite, je viendrais  juste à côté de toi, tu  sursauteras  d'un coup et tu te remettras  face à la télévision. La télévision est  étrange non  ? . Elle s'arrête , elle re fonctionne . Et cela pendant un certain temps.mes  rires et mes pas se faisaient toujours entendre. Et puis, tout doucement, le son de la télévision commençait à augmenter et d'un coup, plus rien la télévision s'était éteinte d'un coup. essais  tu de l'allumer,?   impossible. je suis la chiki , regarde moi , entend  mes pas !  

    pourquoi fais tu semblant de dormir ? oh je vois ..oui chiki , dors , le seul moyen d ' oublier est de dormir . souviens toi de ce souffle léger ..

    tu frisonne ? pourtant , la télévision est éteinte . as tu peur ? prend donc ma main ...je suis juste derrière toi ....

    attention ne cours pas si vite tu risque de te faire mal ...ne cris pas tu risque de réveiller le quartier ..... 

    pourquoi t ' acharne tu sur cette porte ? tu vois bien qu ' elle est fermée ! oui , fermé à clé de l 'intérieur . entend tu mon rire ? je suis derrière cette porte , hum ...ce bruit de l 'eau tombant sur le sol ...

     

    « - AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH ! »

     

    ne cri pas !!!! je t ' ai dis ne cri pas !!! pas maintenant ...arrête donc de frapper cette porte comme une folle ...écoute plutôt la mélodie du rire de celle qui à hâte de te tuer . 

    la salle de bain ? mauvaise idée . très mauvaise idée . je te suis toujours . tu dois entendre mes pas car tu hurle tes poumons ...

    oui , c ' est cela , recule , recule donc jusqu'au lavabo . tourne la tête pour voir . tu me vois donc pas ? je suis là , habillée de blancs , recouvert de sans ...pourquoi continue tu de crier ? je veux juste t ' enlacer ... je suis si contente de te retrouver ...prend ce couteau chiki ...

    - AAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAH !!!

    oh chiki ...quelle idiote fais tu ...un couteau ...ça coupe ...chiki ...dis moi ...pourquoi m ' as tu laisser ce jour là ? il faut que je me venge maintenant ..

    - veut tu continuer le jeu ? tu est la souris ..je suis le chat 


     


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  • ( concours d'écriture de Robert)

     

    Dans l 'ombre du soir , son visage parsemé de fragments du clair de lune , sembler avoir était taillé à la serpe . L ' ombre de ses pas se découper en morceaux derrière lui , comme un voile de mort qui aurait régner sur sa vie tant d ' années qu 'elle n 'aurait en aucun cas voulu le lâcher au seuil de son destin .  Personne n ' avait jamais oser le regarder droit dans les yeux .

    Ou plutôt dans cette lueur sombre parsemée  d ' iris en flammes . Une colère , non , une haine véritable , pure , profonde , amère et certainement aussi glaciale qu 'un iceberg était ancrée dans le regard perçant de ce quadragénaire ventripotent . Il se tenait droit , là , devant eux , pauvres petites choses innocentes , dans une posture droite et menaçante , un rictus de dégoût dessinait au coin de ses lèvres bleuies de froid .

     Il se délectait déjà de la scène qui allait se dérouler dans quelques instants sous ses yeux ébahis . Sa longue cape lui balayer les chevilles , on aurait dit qu 'il volait plus qu 'il ne marcher au dessus du sol . Mais le plus horrible  était sans aucun doute cette longue et majestueuse cicatrice boursouflée qu 'il tendait comme un trophée  , vers ses prochaines victimes

    . De sa main droite , elle parcourait le trou béant et ensanglanté ou se trouvait il y a longtemps de cela , son index . Les quatre autres , rouges , aux ongles rongés , tenait le manche d ' une horrible massue décorée cruellement de piquants de fer . Son odeur putride parvenait sans peine vers les petites formes sveltes des corps avachis contre le mur d 'une ancienne Eglise .

    En entrouvrant les lèvres , des dents jaunis et brinquebalantes sembler battre au vent , rythmant le son de la cape froissée à chacun de ses pas , aussi agile qu 'un prédateur . Il brandit son arme , elle étincela quelques secondes à la lueur de la pleine lune , puis s ' abattit sur les deux désignés du destin diabolique .

    La dernière vision qu 'ils puissent avoir , fut cette langue , coupée en son milieu , comme celle d ' un serpent venimeux . Oui , ils venaient d ' ingurgiter le venin d 'un serpent dangereux , et ce nom , si tout de fois il en fut un , resteras gravé dans leurs  âmes au delà de leurs morts : snake dark . 

    Commentaires constructifs si possible merci


    81 commentaires
  • Combien de gens autour de moi ont-ils mis leurs vies en stand-by ? combien de gens m 'ont traitez comme une malade ? moi , qui n 'en pouvais plus et qui pourtant voulais vivre sa vie à fond !

    il y avait - il des gens qui tenaient à moi  ? y aurait-il eu des gens pour se battre pour cette vie que j 'aurais aimé? moi , qui même morte , ne veut toujours pas renoncer . moi , qui voudrais que vous agissiez comme si rien ne s'était passé parce que seul l 'idée de vous perdre pour de bon un jour , me terroriser .

    y - avait - il personne pour se mettre à ma place ? que ressentiriez vous si vous saviez que tous ceux que vous aimiez n ' avait pas eu le temps de connaître un vrai bonheur ? comment vivriez - vous avec ce poids constant sur les épaules ? 

    parce que vous avez fait des erreurs , croyiez vous réellement que la vie autour de vous s'arrêtent ? 

    personne n ' ait responsable du malheur des autres . sauf ceux qui ont méprisé , brisé , blesser cette personne devraient ressentir la rancoeur . et ce sont ces personnes là qui devraient mettre leurs vies en stand - by .


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  • (hommage à une être chère à mes yeux)

     

    chacun à sa façon de tourner la page , moi je n 'y suis jamais arrivée. 

    pour tous ceux qui ont perdu des êtres chers à leurs yeux et pour rendre hommage aux êtres chers qui m 'ont quittée et que j ' aurais aimé garder plus longtemps . 

    <<<<<<<<<

    la famille c ' est sacré , les amis aussi . on a beau savoir que nous ne sommes pas éternels , nous avons tendance à l 'oublier et à regretter . 

    pourquoi ? 

    parce que le jour ou l 'on se rend compte de notre erreur , il est déjà trop tard pour se rattraper , cette personne est déjà partie et nous n'y pouvons plus rien .

    on aimeraient tellement pouvoir effacer cet instant et revenir en arrière pour lui dire ce que nous n ' avions pas eu le temps de lui dire , mais au fond de nous nous savons que cela et impossible et cela nous fait mal .

    alors nous finissons par nous renfermer sur nous mêmes à ressasser les bons moments que l 'ont n ' avait jamais prit peine à se souvenir avant , pendant qu 'ils étaient encore là .

    a ce moment précis , nous aimerions hurlez , même si nous savons que cela ne les ferons pas vivre pour autant ne serait - ce qu 'une minute , alors nous aimerions les rejoindre à cet instant .

    j ' aimerais dire à ceux qui ont encore la chance d ' avoir tout ceux qu'ils aiment à leurs cotés : 

    " que ce soit un frère , une soeur , un ami , qu 'ils soient énervant ou pleurnicheurs , d ' arrêter de se plaindre car ils n 'imaginent même pas la chance qu 'ils ont " 

    vous voulez pleurez ? et bien allez - y , les larmes peuvent exprimer tant de choses ,mais elles ne peuvent pas empêcher un coeur d ' aimer . car l ' amour est un fil d 'or qui ne se brise qu ' à la mort et même au - delà . 

    c ' est cela le prélude du destin : un amour sauvage qui vous suit jusqu'aux portes du paradis au détour d 'une nouvelle vie . 


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  • Tout arriva un beau jour , à l ' improviste , sans même crier gare . en ces temps là , bien - avant que l ' air si pur se transforme en nuage de toutes sortes de carburant et autre annihilateur des pauvres poumons d ' honnêtes gens , sans signe ni bon de passage , les carrioles tirer par des chevaux vaillants furent tout à coup remplacer par d ' horribles monstres de ferrailles crachotant d ' immenses filets de produits polluants auquels  nous donneront pour noms : gazoil , GPL  et autres ennemis du monde , rendant notre ciel , notre terre même , en pauvres loques remplis de ces particules destructrices .

    les gens si aveugles soient - ils , si sourds de la tragédie mais pourtant si heureux dans cet espace les contraignant à cela : désormais pour survivre il fallait ne plus respirer ! 


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